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Adjectif dérivé du nom propre Bidule, qui est le nom de mon chat. Ce terme définit quelque chose "d'inspiré", de vide, d'illogique, d'absurde, de kafkaïen. Il faut connaître Bidule pour comprendre. Bidule est effrayé par le croustillement de la croquette qu'il est en train de mâcher. Il réclame à sortir, on lui ouvre la fenêtre, il va dehors et il s'arrête avec l'air de celui qui se demande "qu'est ce que j'étais en train de faire déjà ?", il attaque des brins d'herbes après les avoir fixés pendant 10min, il est dans la maison et voit un chat dehors alors il fonce dessus en oubliant qu'il y a une fenêtre, on l'appelle et il cherche dans la direction opposée, etc...
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Noter tout ce que dit le/la prof, en faisant des phrases, sans abréviations, sans synthétiser. En fait, j'écris pendant toute la durée du cours, mais ça ne sert à rien parce qu'en fait, je ne révise pas. Au moins, ça a l'avantage de me donner une apparence d'élève sérieuse.
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Recopier mot pour mot mes notes de cours (voir définition de "prendre des notes"), mais en écrivant en plus petit et sur des feuilles plus petites. (En fait, c'est parce que je n'arrive pas à saisir l'essentiel, alors je note tout.) Finalement, mes fiches de révisions sont exactement semblables à mes notes de cours, il n'y a que le format de la feuille qui change.
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Bibliothèque Universitaire. Cela paraît évident, il est légitime de se demander qu'est ce que ce terme fait dans le glossaire, mais derrière les mots "bibliothèque universitaire", je ne met pas la même définition que tout le monde.
Donc, déjà, je ne vais pas beaucoup à la BU, parce que c'est loin. Enfin, pour moi c'est loin. C'est vrai que pour y aller, que ce soit en partant de l'arrêt de bus ou des bâtiments des Sciences Humaines, c'est en descente. Mais le problème, c'est que si la pente est descendante à l'aller, c'est qu'elle est ascendante au retour. Donc je ne vais pas à la BU parce qu'après y avoir été je suis obligé de "grimper une côte" (c'est presque plat) pour aller en cours ou pour aller prendre le bus.
Parfois, j'y vais quand même. Comme quand j'ai un exposé pour la veille et que je n'ai rien trouvé de consistant sur Internet ou à la Médiathèque. Donc j'y vais pour faire mon travail au dernier moment, et faute de temps, je n'ai pas le temps de découvrir la BU, ni de travailler sérieusement.
D'autres fois, j'y vais pour passer le temps, comme certains midi, où après avoir déjeuné, je n'ai pas grand chose à faire. C'est ainsi qu'une fois, j'ai somnolé derrière un manuel d'Histoire du XVIè siècle et plus récemment, dans livre traitant du colonialisme.
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